Que faites-vous en septembre prochain?

Bonjour les petits amis.

Cet après-midi je suis allé à Lille, c'était très bizarre il y avait pleins de français dans les rues, des nanas qui se la jouent à la star'ac, des types en costard-cravate et des danseurs de hip-hop, mais ça n'est pas l'objet de ce billet. Suite à un appel inquiété de sieur Bellaton, j'ai décidé qu'il était temps de relancer l'activité de ce blogue déchéant, en espérant cette fois que les présentes lignes ne seront pas piratées au profil des résultats des jeux olympiques. C'est pourquoi je vous demande une fois de plus, histoire que ce soit bien clair, ce que vous faites l'année prochaine, pour être sûr que personne ne soit perdu. Bon allez, c'était une petite blague à la Juju.

Par contre, dans le même état d'esprit, ce serait bien de mettre les choses au clair poru Pralognan. En gros qui vient, et apporte quoi? Tentes, popotes, euh... bouffe, bandanas, chapeaux de paille?

En ce qui me concerne, (oui je me répète) une tente d'asocial, que je prendrais peut-être pour moi car depuis que je suis allé en Norvège, je n'aime plus parler aux gens, et une deux (trois) places. Mes popotes sont idéales pour un trappeur solitaire, mais un peu petites pour le camping en groupe surtout si il y a deux Marcel dans le groupe. Voilà je suppose qu'il y a pleins de zéros comme moi et Benjamin qui vont voir le blog tous les jours et se disent qu'ils laisseront un message la prochaine fois (ou pas,) alors réagissez!

Quelques photos d'equateur

Un pays supplementaire sur ce blog d'epiceur de stage en tout genre :

cime de l'altar (5400m) :









Galapagos :







chimborazo :



cotopaxi :



Je vous raconte quand meme que j'ai bloqué ma carte bleu au perou, je me suis retrouver avec pas assez de tune pour prendre le bus jusqu'a quito dans un bled du perou, j'ai file mon telephone, des pieces en euro, des bolivianos et tout ce que j'avais au chauffeur et c'est passé ... Un peu plus et c'etait la prostitution !
Enfin bon les galeres je commence a gerer pour en sortir a force

aller tchoul comme dirait dublanchet

Adrien